Aux 5 ans, à l’Université Laval, la communauté étudiante, le corps professoral, les employé.e.s, et autres membres de la communauté universitaire ont la chance de participer à une grande discussion sur le futur de notre université, elle prend la forme d’une élection, qu’on appelle la course au rectorat.

Le 13 avril prochain, 146 membres du collège électoral, dont 23 étudiantes et étudiants élus par leurs pairs, auront la responsabilité et le grand privilège de choisir qui de Sophie D’Amours ou d’Éric Bauce occupera la plus haute fonction de l’Université Laval pour les prochaines années.

Cette décision aura un impact déterminant sur la direction que prendra notre université et, incidemment, sur les décisions qui seront prises en ce qui concerne les conditions de vie et d’étude des étudiantes et étudiants qui fréquentent l’Université Laval.

En tant qu’étudiantes et étudiants de l’Université Laval, nous croyons important de prendre part à la discussion et d’appuyer publiquement la candidate qui correspond le mieux à nos valeurs et à nos aspirations pour le futur de notre université, celle de Sophie D’Amours.

La toute première rectrice de l’histoire de notre institution présente un bilan dont elle peut être fière. Grâce à sa vision, qui conçoit l’université non seulement comme une institution d’enseignement et de recherche engagée dans sa collectivité, mais d’abord et avant tout comme un milieu de vie permettant à la communauté universitaire de se développer, notre rectrice a su collaborer avec les leaders de la communauté étudiante pour réaliser des projets de taille ayant un impact réel sur la qualité de vie à l’université.

La communauté universitaire peut maintenant bénéficier d’une Politique relative aux étudiantes et aux étudiants parents qui vise à développer un cadre de vie universitaire plus propice à la conciliation études-famille, à réduire les barrières à la poursuite d’études universitaires et à favoriser la santé mentale des parents étudiants.

L’Université Laval a été la première à adopter sa Politique pour prévenir et combattre les violences à caractère sexuel qui permet aux étudiantes et aux étudiants d’évoluer dans un environnement sécuritaire. Grâce à une rectrice ouverte et à l’écoute des besoins de la communauté, notre Université demeure une référence pour la formation en la matière.

La communauté étudiante bénéficie du Laissez-passer Universitaire, soit le fruit d’une collaboration étroite entre l’administration D’Amours, les grandes associations étudiantes et les sociétés de transports de la grande région de la Capitale-Nationale.

Ces trois exemples ne sont qu’un échantillon des nombreuses réalisations des dernières années, ils représentent parfaitement la volonté de madame D’Amours de rester connectée à la communauté universitaire et de construire le futur de notre institution dans un esprit de collaboration et d’écoute.

Les réussites ne s’arrêtent pas là; au Québec comme à l’international, l’Université Laval a su s’imposer comme une cheffe de file incontestable non seulement en matière de recherche, mais également en matière de techno-pédagogie. Cette présence accrue de l’Université Laval et la multiplication de ses partenariats à travers le monde ont fortement contribué à accroître sa notoriété et à redonner à la population étudiante et au corps professoral la fierté d’appartenir à notre grande institution.

Nous, étudiantes et étudiants, nous soucions des changements climatiques, de la polarisation grandissante des idées et de la liberté universitaire. Nous croyons que Sophie D’Amours peut favoriser le dialogue sur ces enjeux dans les prochaines années et peut mener l’Université Laval à jouer son rôle à l’échelle locale, nationale et internationale.

Madame D’Amours sait que nous sommes les voix de demain et veille à ce que nous fassions partie des solutions.

Notre rectrice, Sophie D’Amours, est par-dessus tout, humaine et bienveillante. Sa gestion en temps de pandémie l’a bien démontré. Elle est animée par des convictions pour lesquelles elle réussit à mobiliser sa communauté. Son leadership inspirant nous pousse à croire qu’elle réussira son pari en faisant de l’Université Laval une réelle université d’impact!

Signataires :

Philippe Dubois
, doctorant en science politique
Elisabeth Gravel
, étudiante-parent au baccalauréat en éducation préscolaire et en enseignement primaire
Victoria Thân
, diplômée au MBA en gestion des services de santé et au baccalauréat en kinésiologie
Marie-Lyne Bourque
, étudiante au programme de médecine
Anne Bernard
, stagiaire postdoctorale à la faculté de foresterie, de géographie et de géomatique
Philip Oligny
, candidat à la maîtrise à l’école de design
Gabrielle St-Georges
, candidate à la maîtrise professionnelle en informatique – intelligence artificielle
Éloïse Rouette-Fiset
, étudiante au baccalauréat en relations industrielles
Sarah-Michèle Quiriault
, étudiante au baccalauréat en relations industrielles
Jean-René Beauchemin
, candidat au doctorat en droit international
Félix Caron
, étudiant au baccalauréat en génie logiciel
Gabriel Gosselin
, étudiant au baccalauréat en administration des affaires
Clara Normand
, candidate à la maîtrise en droit international et transnational
Glorya Ide
, étudiante en sciences et technologie des aliments
Constance Lortie
, étudiante au baccalauréat en droit et diplômée au baccalauréat intégré en affaires publiques et relations internationales
Ibrahima Kone Massagninni
, étudiant au doctorat en communication publique
Catherine Villeneuve
, étudiante à la maîtrise en informatique
Béatrice Marcoux
, étudiante au baccalauréat en psychoéducation
Jennifer Couttet
, étudiante à la maîtrise en psychopédagogie
Marianne Gagnon
, étudiante à la maîtrise en nutrition
Bénédicte Desbiens
, étudiante au baccalauréat en agroéconomie
Nadine Morin
, étudiante au doctorat en cancérologie à la faculté de médecine
Jennifer Garneau
, étudiante au baccalauréat en éducation préscolaire et en enseignement primaire
Adité Perpetue Mahuclo
, étudiante au doctorat en communication publique
Gabriel Claraz-Dussault
, étudiant à la maitrise en développement organisationnel
Marc-Antoine Simard
, étudiant au baccalauréat en administration
Mégane Charbonneau
, étudiante au baccalauréat en administration
Antoine Poirier
, étudiant en enseignement en éducation physique
Alexane Pronovost
, étudiante au baccalauréat en criminologie
Isabelle Dompierre-Lapointe
, étudiante à la maitrise en littérature anglaise
Alice Magny
, diplômée de la maîtrise sur mesure en intelligence et transformation
Francis Quessy
, diplômé de la maîtrise en neuroscience
Julie Déry-Lancop
, diplômée du baccalauréat en relations industrielles
Benoît-Olivier Brazeau
, diplômé du baccalauréat en histoire de l’art
Samuel Deslauriers
, diplômé du baccalauréat en génie industriel
Odilon Q.Assan
, diplômé de la faculté de pharmacie
Catherine Routhier
, diplômée du baccalauréat en éducation préscolaire et en enseignement primaire
Samuel Rouette-Fiset
, diplômé du baccalauréat intégré en affaires publiques et relations internationales
Marc-Olivier Côté
, diplômé du baccalauréat en art et science de l’animation
Élizabeth Simard
, diplômée en communication et marketing
Hélène Salesse
, diplômée du baccalauréat en génie civil
Yassir Rockefeller Lassissi
, diplômé de la faculté des sciences de l’administration
Sabrina Martin
, diplômée du baccalauréat en communication publique
Nicolas Bélanger
, diplômé en génie mécanique
Marc-Antoine Bélanger
, diplômé en actuariat
Jérémie Roy
, diplômé en génie informatique
Anne Chrétien-Vincent
, diplômée à la faculté des sciences infirmières
Louis-Philippe Déry
, diplômé en génie civil
Hervé Boudreau
, diplômé en design de produits
Philippe Trépanier
, diplômé en génie informatique
Madelaine Larose-Tarabulsy
, diplômée en marketing
Antoine Paradis-Tremblay
, diplômé en administration
Sébastien Larente-Marcotte
, diplômé en génie géologique
Roxanne Bélanger
, diplômée du baccalauréat enseignement primaire et préscolaire

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